La French Riviera, une femme fatale et vaguement cambrioleuse, un gigolo qui traîne son regard désabusé sur les côtes vaporeuses : film après film, le fils Bedos semble bien décider à enferrer son œuvre dans une sorte d’hommage fétichiste au cinéma d’antan. Si l’histoire ne réinvente à peu près rien, c’est justement en réexaminant tous ces clichés avec une authentique passion de cinéphile que le réalisateur (ici également scénariste) tire son épingle du jeu, grâce à un montage savant et à un faste visuel qui n’est pas sans rappeler, dans ses meilleurs moments, le cinéma sud-coréen. [...]
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