[Cinéma] Mon Crime : poussière des cintres 
Avec Mon Crime, François Ozon se lève et ne se casse pas, faisant de l’agression d’une actrice le prétexte d’un boulevard poussif et ambivalent.
Partage

Après deux films « sérieux » – Peter von Kant, abominable remake dégenré des Larmes amères de Petra von Kant et Tout s’est bien passé, chronique des derniers jours du marchand d’art André Bernheim avant son suicide assisté en Suisse –, François Ozon revient avec l’envie d’en découdre et du grand public. Mon Crime est fait du bois dont il a taillé Potiche ou Huit femmes, du boulevard conscientisé remis au goût du jour, d’après une pièce exhumée d’une malle à vieilleries années 30 (Georges Berr et Louis Verneuil, quoi d’autre ?). Au programme, la vengeance de non pas une mais de deux femmes, actrices débutante et passée de mode, qui vont profiter d’un seul virilicide pour se propulser au-devant de la scène, l’innocente agressée et la coupable délaissée. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Partage
Aidez L’Incorrect, faites un don et défiscalisez !
En passant par notre partenaire Credofunding, vous pouvez obtenir une réduction d’impôts de 66% du montant de votre don.
Choisissez le don en ligne en réglant par carte bancaire ou par virement avec le lien ci-dessous ou par chèque, à l’ordre de Fonds de Dotation CredoFunding, à l’adresse suivante :
Fonds de Dotation CredoFunding – L’Incorrect
41 rue Laure Diebold
69 009 LYON