Chaque festival international se doit aujourd’hui d’honorer sur la plus haute marche une réalisatrice, si possible peu expérimentée, sous peine de sexisme larvé. Et si l’inclusivité exclut souvent le talent (Titane), il y a des exceptions. Nos soleils – Ours d’or 2022 à Berlin – fait mentir la crainte au premier abord d’un conte gentillet à base naturaliste façon Alice Rohrwacher. Cette chronique d’une expropriation agricole en Catalogne sait prendre le temps et ne forcer jamais la main. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !