Il est de bon ton de détester Ulrich Seidl, cinéaste misanthrope et autrichien comme Michael Haneke, mais en moins théorique et plus cracra. Sa trilogie du Paradis comprenait pourtant les séquences les plus dérangeantes vues sur un écran depuis des années (et aussi les plus bouleversantes, le final de Foi transcendé par une actrice, Maria Hofstätter, dans […]
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