À la faveur d’une glaciation climatique, Un Hiver en été tente une radiographie de la France d’en bas, d’en haut et du milieu. Celle-ci s’opère hélas par le biais du roman-photo où des archétypes grossiers vont s’affronter par duos (la Gilet jaune versus le startuper ; le militaire versus le drogué, etc.) D’abord désarmant, le film de Laetitia Masson devient vite effarant avec ses rebondissements qu’oserait à peine Lelouch et des dialogues en Angot de synthèse (« Je suis toute seule dans une zone industrielle. Chaque homme dans sa nuit. ») [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !