Cette attente se cristallise essentiellement à droite, puisque à gauche, entre le Beria du Jura, l’Ayatollah sous tranquillisants de la Mairie de Paris, ou un Président de la République en peau de lapin qui enfourche tous les poncifs démonétisés de l’intelligentsia française post-soixante-huitarde, le choix est large.
Parmi ces candidatures possibles, revient régulièrement le nom de Pierre de Villiers. L’homme a pour lui d’être honnête, de bon sens, de bonne foi, et de bonne volonté. Autant de caractéristiques qui suffiraient à le distinguer positivement de la classe politique professionnelle. Il donne l’espoir à la France des villes moyennes et des champs qu’on peut reprendre les choses en main. Que la jeunesse d’aujourd’hui n’est pas pire que les autres et qu’on peut la « récupérer » si l’on sait l’encadrer et lui parler comme il se doit. Et c’est là que le bât blesse.
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