Nous avions quitté Éric Zemmour un peu sonné par les affres du combat politique. Nous le retrouvons avec un essai, relativement court et moins politique, touchant plus directement grandes questions. Et l’on se dit dès l’abord, nous qui avons grandi avec lui, qu’il n’aurait jamais dû quitter l’arène du débat d’idées, là où sa culture, sa vivacité et son esprit de synthèse s’expriment le mieux. Dans La Messe n’est pas dite, il appelle au sursaut judéo-chrétien pour défendre une civilisation que l’on sait menacée de mort. Il n’est pas tant question de foi que de l’environnement culturel dans lequel nous vivons. Si Chantal Delsol actait en 2021 la fin de la chrétienté, Zemmour veut encore faire battre une flamme d’espérance. […]
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