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La parution en poche de ce récit publié initialement par Christian Bourgois en 1968 est une excellente nouvelle.
On y plonge dans l’existence solitaire et incandescente de François Augiéras de la Dordogne aux oasis du Sahara en passant par Alger et le monastère trappiste de Tibhirine, devenu tristement célèbre quelques décennies après. Animé d’une sensibilité païenne et farouche, Augiéras s’engagera successivement dans des mouvements maréchalistes puis dans la Marine Nationale de la France libérée, tout en se révélant vite inadapté à toute forme d’embrigadement ou d’emploi salarié. Celui qui s’est aussi rendu au mont Athos, privilégiera dès-lors la communion totale et nocturne avec la nature, l’écriture et la peinture. C’est de privations et d’épuisement qu’il mourra à Périgueux à l’âge de 46 ans.
Une adolescence au temps du maréchal
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