On le sait, les biografilms sont rarement dignes d’intérêt, toujours hagiographiques et ampoulés. Malgré ses tentatives désespérées pour rompre avec cette malédiction, ce Franz K. est probablement le pire traitement possible qu’on pouvait faire d’une vie de Kafka, en réduisant le romancier tchèque à une sorte de figure lunaire, vaguement autiste, qui plonge par hallucinations successives dans sa propre muséification. […]
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