L’édition française croule sous les égo-trips de fabulistes féminolâtres et sous les égo-fictions pseudo capiteuses où des demi-mondaines se pâment sur leurs facéties vaguement érotiques. On aurait tendance à oublier qu’avant l’autofiction, il y avait le récit de confession. C’est ça la foi de Frédéric Hermel, sous son titre gentiment publicitaire, peut se lire comme […]
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