Une étrange communauté rurale, non située dans le temps et dans l’espace, semble obéir à des règles complexes et à une hiérarchie aveugle. Le temps passe. La photographie, sublime, s’attarde sur les détails et le lent déclin de l’été. On s’ennuie ferme, tant les personnages ont l’air d’être des fétus de paille – et pour cause. Pourtant, on demeure intrigué : dur de savoir où placer Harvest, film qui vaut surtout pour son dispositif et par le peu de moyens qu’il se donne pour l’épuiser. [...]
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