Sur les réseaux sociaux, dans les médias, la polémique autour des violences faites aux femmes et de la libération de leur parole a occupé de longues semaines. Encore faut-il que cette parole soit celle des chiennes de garde du féminisme contemporain.
Vous prenez un verre dans un bar, un soir, avec un homme récemment rencontré. Celui-ci nourrit de solides projets pour la nuit. Vous lui plaisez et son charme ne vous laisse pas indifférente. Soudain, une notification s’affiche sur votre téléphone : votre partenaire vient de vous proposer une relation sexuelle. En agrandissant la fenêtre, vous découvrez alors les « paramètres » qu’il a enregistrés en vue du prochain rapport: si un préservatif sera utilisé, la possibilité ou non de pratiques BDSM, ou encore si le langage cru sera de rigueur pendant l’acte. La durée de la relation est aussi programmée. Les préférences sexuelles étant établies, il ne vous reste plus qu’à confirmer l’ensemble en envoyant votre consentement. Ce récit ne relève en rien de l’anticipation, plusieurs applications, utilisées notamment (...)
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