Margarethe Von Trotta, muse de Rainer Fassbinder et de Volker Schlöndorff, est passée derrière la caméra depuis maintenant trente-cinq ans avec des résultats plus ou moins convaincants. On est plutôt dans le « moins » avec ce biografilm empesé de la poétesse autrichienne Ingeborg Bachmann où, non contente de nous servir des chromos dignes de Modes & Travaux, la réalisatrice se montre incapable de nous faire comprendre la nature de l’inspiration et du désordre qui semblent chahuter la raisonnablement belle Vicky Krieps (décidément abonnée aux rôles de femmes « historiques et casse-couilles »). [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !