« Bibi or not Bibi, that is the question ». La formule résume la campagne pour les élections législatives du 9 avril, en Israël. Alors qu’il remet en jeu son mandat, Benyamin Netanyahou part à nouveau favori, même s’il délaisse les questions sociales pour les questions sécuritaires.Ce n’est pas que la population roule sur l’or : en Israël, plus d’un quart des foyers vivent en dessous du seuil de pauvreté et la capitale économique, Tel Aviv, figure parmi les dix villes les plus chères du monde. Les Israéliens ont l’habitude de travailler dix heures par jour et de payer leurs courses à crédit au supermarché. Mais l’insécurité éclipse la misère. Le 14 mars dernier, le Hamas a envoyé depuis Gaza deux missiles en direction de Tel-Aviv. C’était la première fois depuis l’opération « Bordure protectrice », en 2014, qu’elles atteignaient le (...)
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