Jean-Marc Vivenza ne sait pas ce qui, adolescent, l’a poussé à composer des « pièces sonores » à partir des bruits enregistrés dans les usines de son Isère natale. Il n’imaginait pas davantage que ces expérimentations musicales seraient l’amorce d’une longue quête spirituelle. Étudiant en philosophie et en histoire de l’art, il découvre le futurisme et inscrit ses travaux dans le prolongement de ceux de Luigi Russolo, artiste célèbre pour son Manifeste de l’art des bruits publié en 1913.
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