En tant qu’acteur du milieu du foot, confirmez-vous qu’un sort douloureux y est infligé aux femmes ?
Non, je m’inscris en faux, il n’existe aucun « sort douloureux infligé aux femmes dans le milieu du foot ». Marie Portolano ne travaille pas dans le foot mais dans les médias, deux milieux qui n’ont absolument rien à voir. Si elle est au contact du football par son activité de présentatrice, elle évolue au quotidien dans les locaux de son employeur à Boulogne, et non dans les clubs, dans les vestiaires, sur les terrains. Les auteurs des comportements qu’elle dénonce sont ses collègues salariés du Groupe Canal +, c’est donc au sein des rédactions de la chaîne que doivent s’opérer les introspections.
La chaîne Canal+ aurait coupé préventivement les passages qui mettaient en cause Pierre Ménès. Une réaction ?
Je ne sais pas ce qu’il en est, je ne travaille ni pour « Les Jours », ni pour le Groupe Canal +. Je peux simplement répondre que l’on ne peut pas généraliser et réduire tous les hommes au comportement de Pierre Ménès ; de la même manière qu’il est impensable de réduire l’ensemble des femmes à Corinne Masiero et Alice Coffin. [...]
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