Crée en 1978, trois ans après l’année internationale de la femme proclamée par l’ONU, il nous semble pourtant que La Culotte (puisqu’il s’agit de son titre) a été écrite hier. Jugez par vous-même de l’argument : après une révolution féministe, les hommes sont surveillés de près. Gare à celui qui ferait preuve de courtoisie, de galanterie ou pire de gauloiserie. C’est dans cet univers que nous suivons les tribulations de Léon, journaliste au Figaro et académicien qui a été convaincu d’un crime abominable : il aurait fait un enfant à la bonne. En attendant son procès, dont l’issue serait l’émasculation, le voilà enchaîné au poteau de torture par son épouse, Ada, virago et soutien zélée de la révolution, membre du comité central des femmes libérées du 16e arrondissement, qui le force à faire son auto-critique phallocratique quotidienne.
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