Un jeune homme inadapté et orphelin suit un magicien itinérant avec le même regard pervers que Malcolm McDowell dans Orange mécanique jusqu’à un camp zadiste à free party. Là, il adopte une souris, garde un bébé et prépare la tambouille qu’il s’évertue à cramer. Son mentor lui fait miroiter un voyage à Ushuaïa (d’où le titre du film de Simone Bozzelli, La Patagonia). En guise d’éducation sexuelle, le simili Rain man se fait percer le téton, pisser dessus et branler (dans cet ordre). [...]
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