L’Algérie, la Tunisie mais aussi l’Irak et le Liban : l’année 2019 a été le réceptacle d’un énième printemps arabe, que l’on a appelé cette fois-ci le « hirak », c’est-à-dire le « mouvement ». Cette rue arabe, qui sortait jadis pour la Palestine, défile depuis des années pour accéder à la démocratie et dépasser le système de clientèle communautaire. Mobilisés sur les réseaux sociaux et refusant de se donner un chef, les libéraux arabes semblent toutefois dans une nouvelle impasse. [...]
Retrouvez cet éditorial dans le dernier numéro de L'Incorrect et en libre accès pour les abonnés.
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !