L’éco-socialisme et l’écoféminisme (qui inclut les transsexuels) se perçoivent en tant que nouvelle « avant-garde » et nouveau « phare de l’humanité ». Qui retrouve-t-on parmi les « femmes inspirantes » qui ont marqué 2019 selon Marie-Claire ? Que de jolies frimousses innocentes et juvéniles, à qui nous aurions donné le bon Dieu sans confessions, disait-on autrefois, mais qui s’avèrent de redoutables viragos. « How dare you ! » hurle la jeune activiste Greta Thunberg, la chanteuse Angèle qui dit « Non, c’est non » point barre, à la différence de la poupée de Michel Polnareff à qui personne n’avait « jamais appris qu’on pouvait dire oui ». Cela étant la chanteuse belge a depuis fait son coming out sur Instagram : elle est en couple avec une certaine Marie Papillon.
Mais on trouve encore l’actrice Emma Watson, 30 ans, qui pour valoriser le célibat préfère parler de « partenaire de soi-même », heureusement pour elle, la pauvre file désormais le parfait amour avec Leo Alexander Robinton, un entrepreneur californien de 30 ans ; la brésilienne Valentina Sampaio, mannequin transgenre pour Victoria’s Secret ou Adèle Haenel, icône en robe du soir de la mutinerie des enfants gâtés du cinéma français lors de la cérémonie des César, qui se revendique lesbienne. Voilà donc les rôles modèles proposés aux jeunes filles. Le père tué, le mari exclu, l’homme remplacé. Aujourd’hui la soi-disant loi de « bioéthique » qui va permettre cette monstruosité qu’est la fabrication d’orphelin de père en toute conscience, est-elle un pas supplémentaire vers un soi-disant « meilleur des mondes possibles », un Rainbow new world ? Comment mieux contribuer à l’extinction de la civilisation, si ce n’est de l’espèce humaine ?
La menace n’est pas vraiment perçue parce que la multiplication des « identités-ayant-droit-à » semble à droite soluble dans le marché pour les managers globalistes qui n’y perçoivent qu’une nouvelle segmentation marketing ; quant aux animateurs de gauche du globalisme, ils n’y voient qu’une demande de « droit à la différence » soluble dans le relativisme culturel. Pourtant cette menace aurait un caractère irréversible dès lors qu’elle s’institutionnaliserait en principes de gouvernance globale d’institutions supranationales. [...]
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