Ah, les zèbres ! De superbes animaux du genre equus, seuls de leur groupe à ne pas pouvoir être montés. Farouches mais grégaires. On les reconnaît aux stries noires qui traversent leur robe blanche. Trois espèces de zèbres nous étaient pour l’heure connues : le zèbre des plaines, le zèbre des montagnes et le zèbre de Grévy. Il faut maintenant y ajouter une quatrième : le zèbre de Facebook. Naturellement bon, il est l’ennemi du cruel « pervers narcissique ».
Adulte surdoué et incompris de ses contemporains, le zèbre se plaît à se croire différent du tout-venant. S’il échoue, ce n’est pas vraiment de son fait mais bien la faute d’une société qui refuse de les comprendre, lui et sa sensibilité à fleur de peau. Sans faire de test de QI, le zèbre sait pourtant que le sien est largement au-dessus de la moyenne, avoisinant les 140. Il recherchera donc la compagnie, sur les pages Facebook qui lui sont dédiées, de ses semblables. [...]
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