Une équation fatale veut que la plupart du temps, cinéma roumain = des blaireaux en bisbille qui font la gueule ou s’apostrophent pendant deux heures et des poussières. Libertate de Tudor Giurgiu la contourne en partie. Ce récit de la révolution roumaine de 1989 sise dans l’un de ses épicentres, la ville de Sibiu, est vif et enlevé comme le Bloody Sunday de Paul Greengass, la caméra nauséeuse en moins. On suit un flic dans sa tentative de survie avec d’autres suppôts du régime finalement parqués dans une piscine vide. [...]
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