Oui, j’ai le « seum ». Le « seum » comme un mioche qui vient de perdre au Mille Bornes face à son père qui a passé la partie à tricher, puis l’a puni parce qu’il a jeté les cartes par-dessus de rage. Le « seum » comme une candidate des Marseillais ou des Anges de la téléréalité qui a raté le sort qu’elle voulait jeter à une concurrente, pour un mec ou un botox du popotin raté. Le seum comme un candidat aux élections qui perd contre un abruti fini qui raconte n’importe quoi avec un ton docte, ce que tous les cons adorent. Le seum comme Messi quand Griezmann marque une lucarne de l’extérieur de la surface – ce qui, admettons-le volontiers, devient de plus en plus rare. Le seum comme Marlène Schiappa quand elle oublie de balancer un tweet pour défendre son idée de « quartiers sans relous ». [...]
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