Olivier Urman aurait pu faire bien autre chose de sa vie. Être, par exemple, un de ces passants, qui, l’été, plantés au milieu des grands boulevards parisiens, invectivent le soleil ; ou bien un de ces inconnus qui vous alpaguent près de l’arrêt d’autobus pour monologuer sur un ton entendu des propos incohérents ; ou bien encore […]
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