J’ai l’habitude d’écrire mes chroniques pour L’Inco dans les bistrots à la campagne. Là où vivent les derniers hommes. Et puis, comme ça j’ai l’impression d’être en communion avec la bande de saoûlographes qui fait votre coin-coin à Paris. Jésus a dit que partout oùl’on se réunissait en son nom, il était avec nous. Moi […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !