Une femme enceinte et en difficulté a trois options devant elle. Premièrement, avorter. Deuxièmement, accoucher sous X et confier son enfant à l’adoption. Et troisièmement, s’en remettre à une institution qui va l’aider à vivre sa grossesse sereinement, en particulier sur un plan logistique. Les deux premières options relèvent des services publics, puisque la première est une intervention d’ordre médical et donc de la Sécurité sociale, et la seconde une opération d’état-civil. Mais dans la mesure où la stratégie de diffusion de la contraception, et d’incitation à l’avortement, est assurée par le réseau largement subventionné du Planning familial, il serait tout à fait cohérent que les centres d’accueil pour femmes désirant garder leur enfant soient également financés par le denier public [...]
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