Ce qui ressemble à un paradoxe est en fait une constante : comme la plupart des grands champions de sport de combat, Robert Paturel était un enfant timide. « Moi, je suis le numéro cinq », dit celui qui naît en 1952, avant-dernier d’une famille de six enfants. Cinq garçons, une fille. Lire la suite dans L'Incorrect numéro 32.
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