Pouvez-vous nous faire un point rapide sur la situation électorale aux États-Unis, alors que les dépouillements sont en cours ?
La seule chose dont on est sûr, c’est qu’il y a un grand perdant comme en 2016 et à chaque fois : c’est la classe médiatique et tous les observateurs autoproclamés. Ils ont perdu une fois de plus puisqu’ils nous avaient annoncé une victoire écrasante de Joe Biden. Il n’y a pas eu de vague du tout. Ou du moins, il y a une vague qui risque de tout emporter : la vague de la fraude. Il y a quand même plus que des soupçons ici et là de fraudes massives au bénéfice de Sleepy Joe. Ses équipes, elles, ne dorment pas, et tout porte à croire qu’elles sont bien à la manœuvre pour faire basculer le vote en sa faveur.
Vous avez assisté au meeting de Trump à Scranton. Quel y était le climat dans les rangs de ses militants ?
Climat d’enthousiasme ! Moi, je suis un Français sudiste et donc très sensible aux basses températures. Il faisait très froid, mais il y a avait pourtant sur le tarmac, un lundi à 14h, près de huit mille personnes ! Et Trump avait déjà fait quatre meetings en Pennsylvanie. C’était au peuple américain - il n’y avait certes pas Lady Gaga mais on s’en est passé – et ses travailleurs, à l’Amérique réelle que Donald Trump s’est adressé avec la personnalité très directe qui est la sienne. Il y avait un véritable enthousiasme populaire pour un candidat qui s’adresse au peuple, qui le comprend et lui parle de son quotidien. Il a rappelé le bilan et la ligne Trump : protéger les Américains sur le plan économique, social et sécuritaire. [...]
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !