C’était le 16 mai. Avant les élections européennes. Avant aussi qu’il ne se fasse prendre par la patrouille. Ni vu ni connu, nous avions rendez-vous avec Steve Bannon. Quelque part. Maintenant on peut dire que c’était au Bristol où se trouvait aussi, ce jour-là, une ex-Première dame de France. Elle, on l’a croisée dans le hall ; lui, il nous a reçus dans sa suite. Longuement. Aucune question n’était taboue. On a cru le coincer sur la politique internationale, il est passé aux aveux avec une franchise désarmante : la Chine, voilà l’ennemi. Partie 2
A découvrir dans le numéro de juin et en ligne pour les abonnés
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !