Paradoxe d’un cinéma français qui voudrait tenter des choses et explorer un domaine inédit, ici celui de la comédie de science-fiction, Un Monde merveilleux, qui se pense comme une réflexion satirique enlevée sur la robotisation de notre société, se heurte à l’impasse de son propre imaginaire frelaté. Il faut dire que l’argument – l’émancipation existentielle d’un robot, ici grâce à une quarantenaire dépressive en quête de sa fille – a été déjà considérablement traité par le cinéma de SF, de Terminator 2 en passant par Short Circuit et l’imparable Metropolis de Rin Taro. [...]
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