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Une séparation ethnique pour vivre ensemble

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Publié le

24 avril 2025

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S’il y a un lieu où le séparatisme est assumé, c’est bien dans les prisons françaises. La séparation ethnique n’est inscrite dans aucun règlement mais règne en maître jusque dans les cellules. Un tri qui se fait dès l’arrivée.
© Nicolas Torny
En 2023, la France comptait 72 020 détenus. Parmi eux, 18 068 étaient de nationalité étrangère, soit 25 % de la population carcérale, selon les données du ministère de la Justice. Une proportion trois fois supérieure à celle des étrangers dans la population générale. Dans le détail, les Algériens dominent (3 974 détenus), suivis des Marocains (2 093) et des Tunisiens (1 254). S’ajoutent encore des ressortissants d’Afrique subsaharienne, d’Europe de l’Est, et du Moyen-Orient. Mais ces chiffres, bien que précis, passent sous silence une donnée plus sensible : l’origine ethnique des détenus français eux-mêmes. Pourtant, la réponse saute aux yeux dans les coursives des établissements pénitentiaires. [...]
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