L’époque est mélancolique. À la hauteur de l’enterrement de Jean Raspail. La vie continue, elle, increvable. On entre parfois dans la lumière comme disent les mystiques. Ou c’est dans la béance qu’il se passe quelque chose, dirait Lacan. Les terrasses comme les églises sont pleines d’idées vides. Les derniers cow-boys s’en vont et on a parfois l’impression que Dieu est là, quand même, malgré l’Adieu au langage.
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