Skip to content

L’autre choix : quoi qu’il en coûte

Par

Publié le

24 mars 2021

Partage

En 2018, l’État a dépensé environ 90 millions d’euros pour rembourser 224300 infanticides prénataux, soit un coût unitaire de l’ordre de 400 euros. Tuer est peu coûteux. À l’inverse, s’il se décidait à financer des alternatives, combien coûteraient-elles ?
femmeenceinte

L’Aide Sociale à l’Enfance dépense 8,3 milliards par an pour les 355000 enfants dont elle s’occupe, soit 23000 € par tête. Si l’on imaginait une hausse des enfants placés équivalente à 30 % des infanticides prénataux, les services sociaux ne pourraient récupérer les 67290 enfants survivants. Leurs charges exploseraient à plus de 1500 milliards par an, plus de trois fois le budget de l’État. De son côté l’adoption ne coûte pas grand-chose à l’État mais n’est pas une solution suffisante car il n’y a que 10000 demandes par an. Si l’on veut diminuer sérieusement le nombre des infanticides prénataux, une interdiction ne suffirait pas, ou alors à l’échelle de l’Europe. Il n’y a pas trente-six solutions. Il faut que les gens aient envie de conserver leurs bébés. [...]

Lire aussi : Pourquoi le nombre d’avortements ne diminue pas ?

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

EN KIOSQUE

Découvrez le numéro du mois - 6,90€

Soutenez l’incorrect

faites un don et défiscalisez !

En passant par notre partenaire

Credofunding, vous pouvez obtenir une

réduction d’impôts de 66% du montant de

votre don.

Retrouvez l’incorrect sur les réseaux sociaux

Les autres articles recommandés pour vous​

Restez informé, inscrivez-vous à notre Newsletter

Pin It on Pinterest