« Et son âme est faite pour être le rempart des autres âmes et la patrie où elles peuvent s’épanouir. » Ce sont les paroles prononcées par Edith Stein, dite sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix, sur la spécificité de la femme lors de sa conférence Les fondements de l’éducation féminine (1930). Or, savons-nous encore saisir ces mots graves que sont ceux de l’âme, de la patrie, et de la femme à une époque où le progrès ne voudrait parler que de « corps », « d’espaces sans frontières » et de « personnes avec un utérus » ?
Lire Edith Stein, c’est s’abreuver – après une longue traversée du désert qui s’appelle progressisme –, à la simplicité de la nature et donc à la vérité. Cent ans plus tard, alors que les féministes enragent dans une colère vulgaire et s’aspergent d’une masculinité médiocre, cette philosophe devenue carmélite nous parle d’une voix ferme dans une forteresse de convictions.
Lire Edith Stein, c’est s’abreuver – après une longue traversée du désert qui s’appelle progressisme –, à la simplicité de la nature et donc à la vérité.
Elle rassure les hommes et élève les femmes, face à une question qui bouleverse toujours à en croire les partisans du wokisme et de l’écriture inclusive : existe-t-il une essence féminine, et celle-ci permettrait-elle à la femme d’accéder à toutes les vocations ?
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