Le 30 juin, une étrange information écorche nos oreilles : un Burkinabé est auditionné après avoir mis en « gardav’ ». Le pauvre, qu’a-t-il donc bien pu faire ? Être marabout. Autrefois, dans le Lot-et-Garonne, on bouffait du curé. Aujourd’hui, du miel sur le corps de filles de 14 ans. Parce que c’est bien de cela qu’il s’agit. Le sorcier quinquagénaire proposait ainsi à des filles de tous les âges un astucieux mélange « d’onction de miel » et de parties de jambes en l’air pour chasser le démon de leurs esprits malades. Une coutume locale malheureusement pas encore acceptée qui le mènera probablement vers la prison.
Le lendemain, un père de famille voit sa garde à vue prolongée. Deux jours plus tôt, dans la ville portuaire de St-Nazaire, mouettes et goélands batifolent, mais l’espace aérien est soudain perturbé par une créature peu habituée à de tels exercices : une jeune fille de 18 ans. Le père, exaspéré par son comportement indigne, a décidé de mettre fin à ses fautes de mœurs en la jetant du haut d’un pont. Quel rapport avec l’africanisation ? Lorsque François Chénau, maire de Donges (la ville où la famille résidait) est interrogé sur l’affaire, il évoque rapidement un « problème culturel ». Décidément, on ne va pas assez vite dans le progrès.
Ce même jour, le Conseil d’État rendait une décision qui a choqué les défenseurs de la cause animale, comme les consommateurs. Désormais, il est établi que les viandes hallal et casher ne seront pas appelées comme telles. Non, ce sera une viande comme une autre : hallal, et personne ne le saura, na ! La laïcité ? Connais pas, vivons comme au Maroc. Apprenez maintenant que lorsque vous dégustez votre steak, il y a de bonnes chances pour qu’un imam ait égorgé l’animal en direction de La Mecque. [...]
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