Lorsque je passe, un peu essoufflé, la porte de son bel appartement qui surplombe la rue de Rivoli, Yannis Ezziadi n’est pas un inconnu pour moi. Nous nous sommes déjà croisés. Ni son rire puissant, ni sa sympathie explosive, ni son énergie insatiable ne me sont vraiment étrangers. Ce jour-là, c’est pour parler de son […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !