« Ce n’est pas vraiment un écrivain, c’est un personnage », écrivait Jacques Chardonne, portant, comme à l’accoutumée des jugements teintés de mépris sur ses cadets, surtout quand ceux-ci avaient du talent.
Autre vilaine saillie rédigée dans une lettre à son complice Paul Morand, en octobre 1960 : « On ne sait pas si Nimier est entré en littérature par Les Épées ou par une Jaguar ». Spécialiste des désenchantés de l’après-guerre, Alain Cresciucci recompose le portrait d’un Nimier sans fard, iconoclaste [...]
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