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Si la réalité est violente, comment sa description pourrait-elle ne pas l’être ? Éric Zemmour constate journalistiquement la colonisation islamique par l’immigration massive. Il semble que ce soit déjà trop pour certains, qui veulent le faire taire par tous les moyens. Aujourd’hui, Éric Zemmour risque sa vie. Le lanceur d’alerte le plus célèbre de France risque deux morts : la mort sociale par licenciement, et la mort tout court par assassinat.
Samedi 28, Éric Zemmour a prononcé un discours en ouverture de la Convention de la droite. Il y a résumé les conclusions de ses décennies de journalisme au Figaro, en particulier sur le sujet de l’immigration massive et de ses conséquences concrètes dans le quotidien de ses concitoyens. Pendant son intervention, les réseaux sociaux donnaient parfois en direct les preuves qu’il avait raison, en images. Par exemple, ce tweet qui répond en écho à sa comparaison entre les vêtements de culture arabe et des “uniformes d’occupation” :
SOS racisme a accusé Zemmour dans un communiqué de faire le “commerce de la haine”. Pourtant, au regard es réseaux sociaux, il semble que les appels à la violence proviennent plutôt des adversaires de l’essayiste. En images :
Des propos publics extrêmement préoccupants dans leur violence, mais aussi parce qu’ils dévoilent pour certains des lieux et des heures de passage de Zemmour. Mais pas suffisamment préoccupants pour l’émission TPMP, laquelle a préféré ironiser en live sur ses gardes du corps :
Éric Zemmour est également en danger de mort sociale : dans un communiqué, la Société des journalistes du Figaro demande à la direction de “mettre fin à sa situation ambiguë”. Une manière implicite de demander son licenciement ? Il avait déjà été viré de feu i>télé et désormais Cnews en 2014, et des auteurs édités chez Albin-Michel qui publie ses essais avaient fait pression pour qu’il en soit évincé.
Samedi dernier, la préfecture de police n’avait pas donné suite à la demande de présence policière faite par les organisateurs de la Convention de la droite, malgré les menaces notamment antisémites dont des preuves avaient été fournies. La sécurité privée a du maîtriser seule un individu fiché qui s’est introduit dans la salle, avant que la police vienne enfin le chercher. La violence des menaces envers Zemmour a incontestablement passé un cap.
Louis Lecomte
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