
POLITIQUE


Le 1er juillet 2024, la Hongrie prendra la présidence du Conseil de l’UE pour une durée de six mois. La perspective de cette présidence hongroise a déjà suscité tous les émois dans les cercles pro-Bruxelles, dont les éléments les plus radicalisés avaient proposé, en juin 2023, d’empêcher Budapest d’assurer cette fonction. La réalité finissant toujours par prendre le pas sur les entreprises idéologiques, la Hongrie assurera bien cette présidence et en a d’ores et déjà annoncé la couleur.
Une présidence post-9 juin
La présidence hongroise se déroulera en présence d’un nouveau Parlement européen et d’une nouvelle Commission. Des changements de grandes envergures sont peu probables, mais les partis critiques de l’UE ont toutes les chances de gagner en importance, leur progression devenant difficilement arrêtable, alors que les campagnes de dénigrement à leur égard se montrent chaque jour un peu moins efficaces.
Si la question des relations potentiellement houleuses avec la Commission dans le cas d’une reconduction d’Ursula von der Leyen reste ouverte, la coalition gouvernementale hongroise, le Fidesz-KDNP, bénéficiera sur la scène européenne d’un vent assurément plus favorable que celui soufflant depuis des mois.…


Quels sont les enjeux principaux de ces élections européennes ?
Jamais une élection européenne n’aura été aussi importante. Nous sommes à la fois devant un défi vital et une occasion historique. Ce défi vital, c’est celui de la continuation ou de la disparition de notre civilisation, telle qu’elle a été façonnée par les siècles et telle que nous aimerions la transmettre. Oui, sous les coups cumulés de l’immigration de peuplement et de l’islamisation, qui en est l’une des conséquences majeures, nous pouvons assister dans les décennies à venir à la disparition de ce trésor pour l’humanité qu’est la civilisation européenne.
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Je veux attirer l’attention de vos lecteurs sur un fait particulièrement parlant : en 2022, il y a plus de migrants qui sont entrés en Europe que d’enfants qui y sont nés. Nous sommes à la croisée des chemins.…



Les pages de ce livre se tournent comme on enchaîne les épisodes d’une série Netflix dont on a envie de connaître les rebondissements. Mais, à l’Assemblée nationale, il n’est pas question de fiction. De la IIIe République à nos jours, les petites histoires contées par le journaliste épousent la grande. Les débats électriques dont seule la Chambre basse a le secret éclipsent un tout autre visage : celui des confidentialités, des duels, des joutes verbales ou encore des épisodes extraordinaires. Comme l’écrivait Honoré de Balzac, « il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, qu’on enseigne, puis l’Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements. » L’auteur nous propose de plonger dans la seconde.
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Tout commence à l’été 2024. Les lecteurs du Figaro découvrent dans leur quotidien une série d’articles qui relatent les épisodes oubliés de l’Assemblée. C’est le rubricard et passionné Wally Bordas qui se replonge dans les archives de l’institution et raconte tour à tour le jour où la chambre des députés se retrouve engloutie par la Seine, le jour où l’anarchiste Auguste Vaillant fait exploser une bombe au sein même de l’hémicycle, le jour où le Palais Bourbon est pris par les flammes, et tant d’autres.…

L’Incorrect
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