Durant les législatives, l’affaire Taha Bouhafs avait fait grand bruit. Déjà condamné pour injure publique en septembre 2021, il était suspecté d’être impliqué dans une affaire de violence sexuelle, et avait dû annoncer le retrait de sa candidature le 9 mai. Il avait alors expliqué se retirer à cause d’une prétendue campagne raciste de l’extrême droite. Quelques jours plus tard, on apprenait les accusations portées contre lui. Effectivement, La France insoumise avait reçu des plaintes dès le 7 mai, et annonçait l’ouverture d’une enquête interne à son encontre le 11 mai. « La cellule n’a jamais reçu un témoignage avec des faits d’une telle gravité » déclarait alors Clémentine Autain.
Bouhafs accuse Autain
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