La couleur n’est pas toujours nécessaire, on sait qu’elle passe avec le temps, alors autant commencer par ce qu’il reste : l’ombre et la lumière. Alain Delorme définit son équilibre, son harmonie, il dispose les masses sombres et les masses claires, comme on organise une scène qui sera le champ du possible. Puis il déploie les courbes des gris pour qu’un paysage prenne corps dans la lumière. Il s’agit de Venise. Venise en noir et blanc. Elle nous est offerte en détail et uniquement pour nous. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !