« C’est un nom terrible, camarade/C’est un nom terrible, à dire… » chantait Jean Ferrat. En effet, c’est un nom terrible à dire pour ce pauvre Fabien Roussel à qui on a demandé de classer des dirigeants communistes dans une des deux catégories suivantes : « Camarade » ou « Pas camarade », et ce, devant une classe d’enfants de 8 à 12 ans.
Si Kim Jong-Un est rangé dans la catégorie « Pas camarade », il n’en est pas de même pour Fidel Castro, le dictateur cubain. Pour se justifier, il explique qu’il est avec Che Guevara le « libérateur de Cuba » même si « on peut contester la manière dont le régime est mis en place ». Ouf ! Apparemment, la dictature, ce n’est mal que quand c’est Poutine. Parce que Fidel Castro, comme le rappellent si justement les enfants auxquels il fait face, il était « très très strict ». Pour rappel, Castro s’était rendu coupable de nombreux emprisonnements politiques, d’avoir commandité des expériences scientifiques sur les homosexuels et d’avoir mis en place une véritable dictature. [...]
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