En explorant la face sombre et la période déclinante d’Élisabeth d’Autriche, « Sissi » pour les intimes, la réalisatrice Marie Kreutzer sert la soupe à la doxa du moment : néo-féminisme désagréable et pleurnicheries sur la méchante monarchie patriarcale qui cantonne les reines à un rôle décoratif. Dur d’être impliqué dans cette succession de saynètes censées nous dépeindre l’envers du décor, mais qui ne font que démontrer l’indigence du propos : Sissi insulte ses domestiques, Sissi se prend des shoots d’héroïne, Sissi tombe de cheval… [...]
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