Ils sont rares, les films à pouvoir devenir un probable invariant de tout bizutage de médecine qui se respecte. De humani corporis fabrica est de ceux-là, avec son odyssée endoscopique de l’homme-machine renvoyant à une exploration plus large de l’hôpital, ce grand corps malade. « Je n’ai pas encore eu d’érection aujourd’hui », s’inquiète un chirurgien masqué. Le matérialisme absolu de Verana Paravel et Lucien Castaing-Taylor se lit dès l’entame avec les graffitis d’un souterrain : « Je baise, il suce ». [...]
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