Parfois un peu survendu comme « le Miyazaki français », un nouveau Michel Ocelot n’en constitue pas moins un évènement dans le petit monde de l’animation hexagonale. Avec Le Pharaon, le Sauvage et la Princesse, le réalisateur renoue avec le recueil de contes : aucune prise de risque, puisque c’est un genre dans lequel il excelle. Au milieu des pharaons et des fantaisies levantines, on retiendra le deuxième segment qui se déroule dans une France médiévale particulièrement sombre et poétique. [...]
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