Après sa catastrophique Une jeune Femme (pourtant Caméra d’or au Festival de Cannes 2017), soit du mauvais Cassavettes revu par des néoféministes constipées, on n’aurait pas misé un kopeck sur Léonor Serraille. Elle remonte pourtant la pente avec Un petit frère qui suit sur une vingtaine d’années une famille sénégalaise expatriée en France. Cette chronique décente joue un peu trop d’ellipses qui rejettent hors-champ tout ce qui pourrait asseoir clairement les personnages, rendus plus fuyants qu’intrigants. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !