Il y a chez Clément Weill-Raynal quelque chose de l’enfant terrible devenu sage – ou plutôt du sage resté terrible. À 65 ans, ce journaliste chevronné, inclassable, volontairement incommode, continue de faire entendre une voix singulière dans le concert trop harmonisé de l’audiovisuel public. En quarante ans de carrière, dont une grande partie passée à France 3, il s’est imposé comme l’un des chroniqueurs judiciaires les plus incontournables, mais aussi comme un franc-tireur au sein d’un monde médiatique souvent tenté par le conformisme. [...]
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