La Syrie est exsangue. Après neuf années de guerre, l’affaiblissement de la verticale du pouvoir au profit d’acteurs extérieurs (Russie, Iran) ou intérieurs (milices loyalistes) aurait pu être le début de la fin pour l’État et son président. Les derniers développements prouvent qu’il en est tout autrement. Ils éclairent à leur manière le mystère de la longévité de Bachar El Assad, qui ne doit pas uniquement son maintien au pouvoir à sa puissance coercitive mais surtout à un sens politique implacable que l’on croyait réservé à son père. La suite à lire sur le numéro 32 de L'Incorrect...
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