Retrouvée morte le vendredi 14 octobre, son cadavre rangé dans une valise avec la tête arraché, Lola était une adorable collégienne aux longs cheveux blonds des classes moyennes, bon élève et sans histoire. Ses parents originaires du Pas-de-Calais exercent la profession de gardiens d’immeubles dans le 19ème arrondissement parisien, quartier connu pour son insécurité croissante et son importante population immigrée. De nombreux drogués, migrants sans domicile fixes et dealers en tous genres y vivent, quoi qu’on puisse en dire la mairie de quartier socialiste. Certes, l’immeuble où vivaient les parents de Lola était-il situé dans une rue moins mal fréquentée, reste que l’arrondissement n’est pas sûr.
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Sa meurtrière, désormais connue de toute la France, y vivait aussi. Elle squattait chez les uns et les autres, sa sœur ou ses amis issus de la communauté algérienne, vivant d’expédients après avoir réussi à venir en France grâce à un visa étudiant … pour un CAP dans la restauration. Immigration « choisie », diront les plus optimistes. Immigration subie penseront les plus lucides. Dahbia Benkired appartient à ces immigrés de fraîche date venus en France dans l’espoir d’une « réussite », parfois d’une vie à notre crochet. En fait d’une vie « glamour » façon téléréalité ou clips de rap dont ils rêvent quasiment tous, ils se retrouvent plus souvent à tapiner, voler ou dealer. Certains travaillent, mais les statistiques de la crimino-délinquance montrent bien une surreprésentation de ces profils dans les faits-divers de toutes sortes qu’il serait vain de tenter de vouloir cacher.
Souvent animés par la haine de la France, par laquelle ils sont toutefois attirés comme le papillon l’est des lumières artificielles, on les retrouve pour casser les soirs de matchs de football, pour harceler les femmes dans les rues, pour racketter ou pour injurier. Nous n’importons pas les meilleurs profils, mais les pires. Plus dramatique encore, l’État n’arrive pas à les expulser. En situation irrégulière depuis déjà trois ans, Dahbia Benkired avait été notifiée d’une obligation de quitter le territoire français le 30 août dernier. Elle aurait donc dû être expulsée avant le 30 septembre, contrairement à ce que dit le toujours si arrogant Gérald Darmanin. Elle a pourtant pu assassiner l’innocente Lola quinze jours plus tard, pas même inquiète de sa situation. Car, oui, les « OQTF » n’ont aucune valeur, elles ne sont exécutées qu’une fois sur cinquante.
Les faits sont là : la mort de Lola s’inscrit dans une récurrence de cas atroces impliquant des migrants en état de clandestinité dont il serait impossible de dresser une liste exhaustive tant ils sont nombreux
Emmanuel Macron avait lui-même dit en 2019, dans les colonnes de Valeurs Actuelles, que « toutes les OQTF » aboutiraient à une expulsion. Il y a donc là un cas politique. Bien sûr, ce fait divers aurait pu arriver avec une Française. On se souvient bien des Fourniret, Lelandais, Emile Louis ou encore Heaulmes. La cruauté n’a pas de frontière. Le mal absolu non plus. Mais, les faits sont là : la mort de Lola s’inscrit dans une récurrence de cas atroces impliquant des migrants en état de clandestinité dont il serait impossible de dresser une liste exhaustive tant ils sont nombreux. Ces « faits divers » forment ensemble un fait de société. Celui-ci est tout particulièrement terrible. D’abord, il s’agit d’une meurtrière, ce qui est statistiquement plus rare. Enfin, le motif reste flou et les détails glaçants, d’une violence inouïe. Un tour sur le profil Tiktok de Dhabia Benkired montre la typique « beurette » superficielle, plutôt jolie … mais au regard vide. La théologie chrétienne ne dit-elle pas que le mal est l’absence de bien ? Diabolique, Dhabia Benkired l’était. Psychotique ? Les psychiatres y répondront.
Les accusations de récupération, par ceux-là mêmes qui le même jour s’indignaient du caractère islamophobe d’un horrible assassinat d’une dame voilée à Nantes, alors même que le tueur est un indo-pakistanais qui l’a tuée pour un motif semble-t-il futile, sont indignes. Vouloir tout faire pour empêcher les criminels de sévir ou pour en importer d’autres est un objectif de salubrité publique louable. La déconnexion d’un exécutif donneur de leçons drapé dans une gravité d’apparat est tant une faute morale qu’une faute politique. Oui, nous réclamons la justice pour Lola.