Le cinéma nippon est mourant et Takashi Miike a été l’un de ses brillants fossoyeurs. Réalisateur stakhanoviste formé à l’école du v-cinéma (des téléfilms vendus pour le marché vidéo et qui ne lésinent pas sur le côté racoleur) a connu une période de gloire au début des années 2000 avant de s’effacer devant une industrie de plus en plus pusillanime. [...]
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